Relations amoureuses : comment distinguer le bon grain de l’ivresse des kebabs ?
Pour la santé de votre cœur, évitez de manger trop gras, trop sucré, trop salé.
J’ai appris à apprécier pleinement les joies du célibat et je le racontais dans une récente newsletter. Pour autant, l’amour continue d’être l’épicentre de mes passions.
Apprécier être seule ne signifie pas que j’ai oublié le plaisir d’être prise par la main et celui de se réfugier dans des bras qui deviennent une maison. Le plaisir d’admirer l’être aimé et celui d’être regardée avec des yeux qui rendent plus belle, plus sensuelle, plus intelligente, plus importante. Le plaisir de s’aventurer dans la vie en équipe et d’inventer un monde en commun.
Le couple attire irrésistiblement et partout, à tout âge, les humains s’échinent à le faire fonctionner. Mais comment se fait-il que nous ayons autant de mal à y parvenir sur la durée ? Le problème est-il que nous manquions de ressources, voire de connaissances, pour bien nous aimer ? Peut-être faut-il remonter à la source : et si nous choisissions mal nos partenaires ?
Pour des raisons de curiosité intellectuelle autant que par appétence personnelle, j’ai accepté ces derniers mois des propositions de rendez-vous galants et j’en ai formulé quelques-unes moi-même. Quelques désillusions et prises de conscience plus tard, il se pourrait qu’à 34 ans, j’ai enfin appris à distinguer le bon grain de l’ivresse des kebabs. Je vous explique.